L'orque la plus seule du monde: Loita
L'envers de la route vers la liberté
Un juge décide que le harcèlement et les dommages que Lolita subit dans son minuscule bassin à Miami Seaquarium ne sont pas des critères suffisant pour la libérer.
Mercredi, un juge fédéral de Miami a rejeté une plainte déposée au nom de Lolita par une coalition de groupes de défense des animaux affirmant que les conditions de vie de Lolita étaient une violation de la Loi sur les espèces en voie de disparition fédérale.
«Nous avons été vraiment surpris par cette décision, fondée sur des éléments peu pertinents": a déclaré la directrice de PETA. Goodman a déclaré que le juge dans l'affaire a mal interprété la loi entre la notion de protéger un animal en voie de disparition en captivité et la notion de protéger un animal d'une mort imminente. Il n'y a malheureusement pas de base dans la loi pour cela.
Lolita a été retirée de sa famille dans le Puget Sound en 1970 à l'age de quatre ans et a passé les 46 ans de sa vie en captivité. Elle est membre des orques résidentes du Sud. Une population classée en danger en 2005. Mais cette désignation n'a pas été étendue à Lolita jusqu'en 2015.
La décision de PETA est donc de qualifier Lolita en tant que espèce en danger comme sa population. Ce qui a apporté un nouvel espoir à des milliers de personnes du monde entier qui se sont battus pour la libérer.
Les groupes de défense des animaux ont fait valoir que la petite taille du réservoir de Lolita, constitue du harcèlement parce que «Lolita est incapable de se livrer à des comportements naturels», a déclaré Goodman. "Elle ne peut pas nagercorrectement, et elle ne peut pas plonger, parce que son bassin fait la même longueur que son corps."
Les défenseurs durant le procès ont également précisé que Lolita doit partager son bassin avec d'autres dauphins à flancs blancs du pacifique. Les dauphins mordent systématiquement la peau de Lolita avec leurs dents et se livrent à un comportement sexuel inapproprié avec elle, causant une détresse.
Cette décision conclue que lolita doit être dans un état encore plus grave pour faire valoir une libération.
http://www.takepart.com/article/2016/06/03/lolita-killer-whale-loses-court
L'envers de la route vers la liberté
Un juge décide que le harcèlement et les dommages que Lolita subit dans son minuscule bassin à Miami Seaquarium ne sont pas des critères suffisant pour la libérer.
Mercredi, un juge fédéral de Miami a rejeté une plainte déposée au nom de Lolita par une coalition de groupes de défense des animaux affirmant que les conditions de vie de Lolita étaient une violation de la Loi sur les espèces en voie de disparition fédérale.
«Nous avons été vraiment surpris par cette décision, fondée sur des éléments peu pertinents": a déclaré la directrice de PETA. Goodman a déclaré que le juge dans l'affaire a mal interprété la loi entre la notion de protéger un animal en voie de disparition en captivité et la notion de protéger un animal d'une mort imminente. Il n'y a malheureusement pas de base dans la loi pour cela.
Lolita a été retirée de sa famille dans le Puget Sound en 1970 à l'age de quatre ans et a passé les 46 ans de sa vie en captivité. Elle est membre des orques résidentes du Sud. Une population classée en danger en 2005. Mais cette désignation n'a pas été étendue à Lolita jusqu'en 2015.
La décision de PETA est donc de qualifier Lolita en tant que espèce en danger comme sa population. Ce qui a apporté un nouvel espoir à des milliers de personnes du monde entier qui se sont battus pour la libérer.
Les groupes de défense des animaux ont fait valoir que la petite taille du réservoir de Lolita, constitue du harcèlement parce que «Lolita est incapable de se livrer à des comportements naturels», a déclaré Goodman. "Elle ne peut pas nagercorrectement, et elle ne peut pas plonger, parce que son bassin fait la même longueur que son corps."
Les défenseurs durant le procès ont également précisé que Lolita doit partager son bassin avec d'autres dauphins à flancs blancs du pacifique. Les dauphins mordent systématiquement la peau de Lolita avec leurs dents et se livrent à un comportement sexuel inapproprié avec elle, causant une détresse.
Cette décision conclue que lolita doit être dans un état encore plus grave pour faire valoir une libération.
http://www.takepart.com/article/2016/06/03/lolita-killer-whale-loses-court