Bonjour à toutes et à tous !
Je voudrais vous parler d'un livre : Le festin de l'orque de Stuart Harrison.
Alors, premièrement, je sais qu'il existe déjà un topic sur ce bouquin, mais vu qu'il est dans les archives j'ai comme message : "Désolé, mais seuls les administrateurs peuvent répondre aux messages dans ce forum" donc je suis obligée d'en créer un autre.
Dans l'ancien topic, vous vous demandiez si ça parlait des orques ... et bien c'est avant tout une histoire policière, mais qui fait intervenir des pêcheurs. C'est grâce à cela qu'on parle des orques. L'auteur fait quand même de belles descriptions sur leur méthode de chasse, les liens qui les unissent, la hiérarchie ... Les descriptions sont belles mais peut-être pas assez présentes.
Je ne sais pas si l'auteur s'y connaissait ou non (ça reste quand même une histoire fictive), mais il y a un passage qui m'a "troublé". En effet, durant l'histoire, quelqu'un vient de tirer un harpon sur une femelle, alors un mâle lui vient en aide, et voilà ce qui suit :
"Une fois hors de danger, le mâle s'arrêta pour inspecter la blessure. Il saisit le harpon entre ses dents, par sa pointe, puis le tira sur toute sa longueur, ainsi que le bout de la ligne, à travers le trou. Le sang jaillit mais il coagulerait bientôt, et la blessure cicatriserait. Reconnaissante, la femelle se frotta contre lui. Tous les épaulards vinrent l'accueillir, établissant tour à tour avec elle des contacts physiques qui resserraient les liens du clan."
A votre avis est-ce possible que l'orque se "dise" (sans faire de l'anthropomorphisme) : "elle a un harpon, elle a mal, je peux lui enlever, je lui enlève" ? Est-ce qu'elle peut avoir la "présence d'esprit" de le faire ? Peut-elle se rendre compte du danger que cela engendre pour la femelle ?
Voilà c'est un assez bon livre, divertissant, mais il faut aimer les histoires policières. Et il n'est pas vraiment questions d'amants, ni d'une orque qui mange quelqu'un (bien qu'il se passe quelque chose de la sorte).
Bon week-end à tous =)
Je voudrais vous parler d'un livre : Le festin de l'orque de Stuart Harrison.
Alors, premièrement, je sais qu'il existe déjà un topic sur ce bouquin, mais vu qu'il est dans les archives j'ai comme message : "Désolé, mais seuls les administrateurs peuvent répondre aux messages dans ce forum" donc je suis obligée d'en créer un autre.
Dans l'ancien topic, vous vous demandiez si ça parlait des orques ... et bien c'est avant tout une histoire policière, mais qui fait intervenir des pêcheurs. C'est grâce à cela qu'on parle des orques. L'auteur fait quand même de belles descriptions sur leur méthode de chasse, les liens qui les unissent, la hiérarchie ... Les descriptions sont belles mais peut-être pas assez présentes.
Je ne sais pas si l'auteur s'y connaissait ou non (ça reste quand même une histoire fictive), mais il y a un passage qui m'a "troublé". En effet, durant l'histoire, quelqu'un vient de tirer un harpon sur une femelle, alors un mâle lui vient en aide, et voilà ce qui suit :
"Une fois hors de danger, le mâle s'arrêta pour inspecter la blessure. Il saisit le harpon entre ses dents, par sa pointe, puis le tira sur toute sa longueur, ainsi que le bout de la ligne, à travers le trou. Le sang jaillit mais il coagulerait bientôt, et la blessure cicatriserait. Reconnaissante, la femelle se frotta contre lui. Tous les épaulards vinrent l'accueillir, établissant tour à tour avec elle des contacts physiques qui resserraient les liens du clan."
A votre avis est-ce possible que l'orque se "dise" (sans faire de l'anthropomorphisme) : "elle a un harpon, elle a mal, je peux lui enlever, je lui enlève" ? Est-ce qu'elle peut avoir la "présence d'esprit" de le faire ? Peut-elle se rendre compte du danger que cela engendre pour la femelle ?
Voilà c'est un assez bon livre, divertissant, mais il faut aimer les histoires policières. Et il n'est pas vraiment questions d'amants, ni d'une orque qui mange quelqu'un (bien qu'il se passe quelque chose de la sorte).
Bon week-end à tous =)