"Réchauffement climatique. Les orques s’invitent dans la baie d’Hudson !"
N’affectionnant pas particulièrement les glaces, les orques profitent du fait que le réchauffement climatique ai beaucoup diminué la glace dans le détroit d’Hudson (USA) ainsi que dans la baie elle-même; endroits qu'elles n'ont pas l'habitude de fréquenter.
Pour des espèces dont le statut est plus ou moins précaire dans cette région, comme le béluga, le narval et la baleine boréale, il s’agit d’un prédateur relativement nouveau. En outre, leur tactique habituelle pour échapper aux orques consiste à se réfugier sous les glaces, ce qui devient de plus en plus difficile à mesure que le climat se réchauffe.
Les biologistes interviewés par le New Scientist ne sont cependant pas tous convaincus que l’arrivée des orques mettra ces espèces en danger. Les orques ont déjà été accusés d’empêcher la population de baleines boréales de récupérer après que la chasse en eut été interdite, mais ces baleines ont bien fini par bien se remettre malgré la prédation. En outre, à l’approche du redoutable prédateurs, les bélugas, narvals et baleines de la baie d’Hudson ont déjà appris à se mettre à l’abri dans les eaux peu profondes que craignent les orques.
Source: http://reseaucetaces.fr/archive/2012/04/19/6394.aspx
N’affectionnant pas particulièrement les glaces, les orques profitent du fait que le réchauffement climatique ai beaucoup diminué la glace dans le détroit d’Hudson (USA) ainsi que dans la baie elle-même; endroits qu'elles n'ont pas l'habitude de fréquenter.
Pour des espèces dont le statut est plus ou moins précaire dans cette région, comme le béluga, le narval et la baleine boréale, il s’agit d’un prédateur relativement nouveau. En outre, leur tactique habituelle pour échapper aux orques consiste à se réfugier sous les glaces, ce qui devient de plus en plus difficile à mesure que le climat se réchauffe.
Les biologistes interviewés par le New Scientist ne sont cependant pas tous convaincus que l’arrivée des orques mettra ces espèces en danger. Les orques ont déjà été accusés d’empêcher la population de baleines boréales de récupérer après que la chasse en eut été interdite, mais ces baleines ont bien fini par bien se remettre malgré la prédation. En outre, à l’approche du redoutable prédateurs, les bélugas, narvals et baleines de la baie d’Hudson ont déjà appris à se mettre à l’abri dans les eaux peu profondes que craignent les orques.
Source: http://reseaucetaces.fr/archive/2012/04/19/6394.aspx