Les chercheurs viennent de terminer leur dernier compte des trois gousses d'orques résidentes dans le sud de l'île de Vancouver et Puget Sound. Sept orques semblent avoir trouvé la mort dans les 12 derniers mois, la réduction de la population à 83. Les pertes comprennent les femelles qui sont en âges de procréer.Il ne s'agit pas seulement de la mort. Les orques qui survivent montrent des signes de faim et de se comporter de manière à suggérer une recherche de plus en plus désespérée pour les denrées alimentaires. Il est légitime qu'un débat scientifique sur l'importance relative des différentes menaces qui pèsent sur les baleines soit définit. Mais la réponse du Canada à la diminution de la population a été très lente, surtout en comparaison à l'action des Etats-Unis pour sauver les orques menacés. Le problème principal est la nourriture. Les orques s'appuient fortement sur les saumons chinook et les stocks diminues. Le réchauffement de l'océan pourrait être un facteur, mais la perte de l'habitat et la surpêche ont été plus importants. Les chercheurs sont également préoccupés par les menaces qui pèsent sur les épaulards l' habitat et les effets de sonar militaire sur les mammifères. Mais la liste ne se traduisent pas en action. Le gouvernement fédéral a manqué la date limite pour la préparation d'un plan de redressement par un ensemble de l'année. Cinq groupes environnementaux ont déposés plainte le mois dernier, accusant le gouvernement de ne pas avoir mis à la hauteur des exigences de protections des orques dans le cadre du plan de redressement. En revanche, les États-Unis a désigné les résidents du sud des baleines, qui passent du temps à Puget Sound, en voie de disparition en 2005. Le plan de redressement comprend des mesures radicales pour protéger et améliorer des populations de saumon et exige que toutes les actions de l'agriculture à l'exploitation forestière à la production d'électricité d'être évaluée pour déterminer si elles sont des risques pour les orques. Il n'ya aucune garantie que les populations d'orque résidentes peuvent être sauvées. Le sud de gousses sont déjà suffisamment petites que les populations seront lents à la régénération. Il y aurait suelement un peu moins de décès. Et les défis sont immenses et complexes. Mais il serait honteux, et une trahison des générations futures, si nous ne sommes pas parvenus à prendre toutes les mesures possibles pour protéger ces créatures et les écosystèmes dont ils dépendent.
sources:orcanetwork
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