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L'industrie du whale watching grandit en dépit des orques
Selon une nouvelle étude, les restrictions sur la circulation des navires ont permis d'éloigner davantage de plaisanciers des résidentes du Sud en danger critique d'extinction sans nuire à l'industrie de l'observation des baleines.
Les restrictions fédérales promulguées en 2011 exigent que les bateaux de surveillance des baleines et d'autres navires restent à au moins 200 mètres des orques (deux longueurs de terrain de football) . Pourtant, le tourisme de Whale watching continue de croître, selon le mémorandum technique de la NOAA.
Le manque de nourriture, à savoir le saumon dans Puget Sound ainsi que les niveaux élevés de contaminants dans leur environnement et les perturbations causées par le bruit des navires sont les principales menaces identifiées.
Les nouvelles restrictions sur les bateaux avaient pour but d'aider à réduire le stress des orques, qui passent moins de temps à se nourrir et plus de temps à voyager lorsqu'elles sont dérangées par le bruit des navires d'après les chercheurs.
https://www.google.fr/search?q=traduction&ie=utf-8&oe=utf-8&client=firefox-b-ab&gfe_rd=cr&dcr=0&ei=Jc5EWp_lMrPP8AeLs7CgBA
Selon une nouvelle étude, les restrictions sur la circulation des navires ont permis d'éloigner davantage de plaisanciers des résidentes du Sud en danger critique d'extinction sans nuire à l'industrie de l'observation des baleines.
Les restrictions fédérales promulguées en 2011 exigent que les bateaux de surveillance des baleines et d'autres navires restent à au moins 200 mètres des orques (deux longueurs de terrain de football) . Pourtant, le tourisme de Whale watching continue de croître, selon le mémorandum technique de la NOAA.
Le manque de nourriture, à savoir le saumon dans Puget Sound ainsi que les niveaux élevés de contaminants dans leur environnement et les perturbations causées par le bruit des navires sont les principales menaces identifiées.
Les nouvelles restrictions sur les bateaux avaient pour but d'aider à réduire le stress des orques, qui passent moins de temps à se nourrir et plus de temps à voyager lorsqu'elles sont dérangées par le bruit des navires d'après les chercheurs.
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