Liens de parentés des orques captives
Voici une étude que j'ai réalisé afin de mieux voir les relations entre les orques, et mettre mieux en évidence l'organisation de la population des orques.
Le code couleur aide à voir les parents communs des orques.
A une première vue, on remarque que la majeur partie se concentre sur Tillikum kasatka Katina et Taima.
Beaucoup de parentés communes:
Quand ont met en commun les parentés on distingue surtout 3 familles importantes qui se concentrent autour de Tillikum Katina et Kasatka.
14 des orques vivantes partagent une parenté avec Tillikum
12 des orques vivantes partagent une parenté avec Katina
Katina et Tillikum ont 8 descendants communs
8 des orques vivantes partagent une parenté avec Kasatka
Tillikum et Kasatka ont 5 descendants communs
Le graph est de plus mauvaise qualité hébergé sur internet. Mais sur la version originale (que vous pouvez me demander), on mieux peut compter le nombre de point de couleur communs entre les orques.
On voit finalement que la diversité des gènes des orques se mettent tous en commun au fil du temps. La population n'est jamais renouvelées avec de nouveau gènes.
Cela se répartie entre trois familles indépendantes (sans lien commun).
- La famille de sea world,
- La famille du Japon
- La famille des orques du Marineland.
La théorie de la génétique des populations:
En prenant en compte cette théorie on pourrait conclure les faits suivant:
- Les orques se reproduisent entre cousins proches. Il y a une perte de diversité génétique.
- La consanguinité est un facteur de risque de fragilités
- La surmédicalisation annule l’effet de sélection naturelle. Les individus sont de plus en plus fragiles au fils des générations car ils conservent leur points faibles.
Pour en savoir plus sur la génétique des population et la consanguinité:
http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9n%C3%A9tique_des_populations
http://fr.wikipedia.org/wiki/Consanguinit%C3%A9#Effets_de_la_consanguinit.C3.A9
Ce constat pourrai bien révéler une hypothèse que la captivité n'est pas durable au fil des générations. Mais ce constat est à vérifier dans une dizaine ou une vingtaine d'année...
C'est pourquoi la mobilisation anti-captivité devrai se concentrer sur la limitation de l'apport de nouveaux gènes en captivité qui pourrait apporter de meilleurs résultats et mettre les orques captive en "voie de disparition".
Cela permettrait de réduire naturellement le nombre d'orque en captivité par les limites de la science au niveau de la théorie de la génétique des populations.
Dernière édition par Wikiss le 14/7/2014, 10:27, édité 11 fois